Réciprocité

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il y a 4 ans

Ma femme, 34 ans, 1 m 76, rousse et moi-même, 36 ans, 1 m 75, brun partageons tout. Nous avons des goûts similaires dans de très nombreux points. Et depuis peu, j’ai réussi à l’attirer vers une nouvelle façon de partager nos moments intimes.

Depuis longtemps j’avais des fantasmes sur des jeux de soumission et de domination. Je m’imaginais soit comme soumis attaché et bâillonné par différents moyens et livré à une femme qui alors me faisait souffrir de différentes manières avec des pinces et des poids sur les seins, avec un martinet, une badine ou une cravache frappant sur mes fesses, mes cuisses ou mon dos, voir même engodé ou sodomisé par elle. Soit j’étais le dominant m’activant de la même manière autour d’une femme. Ma femme connaissait vaguement mes penchants vers ce type de pratiques.

Je lui en avais vaguement parlé. Elle savait que j’achetais votre revue régulièrement qui se trouvait dans ma table de chevet. Cependant elle refusait que nous les pratiquions ensemble n’y voyant que de la douleur et de l’humiliation. J’en étais arrivé, lors de mes jours de congés, à pratiquer seul (pinces, poids, menottes et engodage).

Puis voulant vraiment partager ces moments de plaisirs, certes mêlés de souffrances, je pris le temps de lui écrire une lettre lui décrivant mes motivations, mon envie d’être attaché et livré à son désir voir d’inverser la situation. Le tout décrivant un scénario possible et adaptable. Mais surtout, je ne lui parlais pas de pinces ou de martinet. Juste un jeu de domination et de soumission. Cette lettre, envoyée à son bureau, entraîna une discussion de " mise au point " qui me laissa entrevoir une possible réalisation de mes fantasmes.

Et cela arriva, 2 semaines plus tard. Alors que je regardai seul un film à la télé dans le canapé du salon, elle me mit tout à coup un bandeau noir sur les yeux en me disant doucement de ne plus bouger et de ne plus rien dire. Aussitôt mon excitation m’enflamma. C’était enfin arrivé. Elle me guida vers la chambre. Et là me laissant les yeux bandés elle me déshabilla lentement en me caressant sur tout le corps très sensuellement. Mes quelques mouvements ou paroles étaient stoppés autoritairement par des phrases courtes et sèches.

Elle m’allongea alors sur le lit et me lia les poignets avec des cordelettes aux pieds du lit. Elle me susurra à l’oreille des mots tendres, me caressa un peu et disparue. J’étais là allongé dans le noir ne sachant même pas si elle était présente ou non. Mon esprit était traversé d’images vues sur internet. Et mon excitation à son comble. Par moment j‘avais l’impression de sentir sa présence. Ensuite elle alterna les moments où elle me laissait seul avec mes fantasmes et les moments où elle venait soit juste pour me caresser, soit pour me masturber sans me faire jouir.

Une fois elle est même venue poser sa vulve sur ma bouche pour que je lui donne du plaisir. A ce moment j’ai senti contre ma peau la douceur de ses bas. Puis après avoir pris son plaisir par ma langue elle s’absenta encore. Dans une telle situation le temps perd tous ces repères. Puis tout à coup elle s’est empalée sur mon sexe. D’abord doucement puis de plus en plus fort, elle le fit pénétrer de plus en plus profond en elle jusqu’à atteindre un sommet de jouissance mutuelle. Durant ce rapport, inconsciemment, elle plongeait ses ongles dans la peau de mon torse m’offrant des douleurs augmentant mon excitation. Après l’orgasme, elle disparue encore. Elle alla prendre une douche et je l’ai entendu tourner dans la chambre.

Lorsqu’enfin elle me libéra de mes liens et de mon bandeau, elle était habillée comme avant ma cécité f o r c é e. Et pendant cette libération elle m’avoua avoir pris un plaisir troublant. Elle me demanda si j’avais pris plaisir à être soumis. A mon acquiescement, elle dit à mots bas, en rougissant et en baissant la tête qu’elle aimerait bien connaître cet autre plaisir, en précisant aussitôt qu’elle ne voulait pas vivre ça dans la souffrance pour autant.

Quelques temps plus tard, alors qu’elle était dans le fauteuil du salon à mon tour je lui ai bâillonné les yeux. Après un cri de surprise, elle comprit aussitôt ce qui lui arrivait. Je la rassurais et immédiatement je la déshabillais entièrement. Après l’avoir laissée debout seule au milieu de la pièce, je revins avec quelques ustensiles depuis la chambre. Tout d’abord je lui fis enfiler des bas et des escarpins. Je lui mis une guêpière qui lui rehaussée sa belle poitrine et j’accrochais les jarretelles à ses bas. Enfin je lui passais un collier de cuir autour du cou.

Une partie de ces ustensiles, je les avais achetés en cachette. Le tout accompagné de mots tendres et rassurant. Je sentais son corps vibrer sous l’excitation. Après l’avoir fait tourné sur elle-même 2 ou 3 fois pour la contempler dans toute sa beauté de femme et de soumise, je la fis s’asseoir dans le fauteuil. Je la caressais sur tout son corps, en particulier ses tétons déjà tendus et l’intérieur de ses cuisses, lui interdisant de me toucher et de garder les mains posées sur les accoudoirs. Au bout d’un moment, elle tenta quand même de me toucher. Je saisis alors fermement ses mains pour les faire passer derrière le dossier pour lui passer des menottes. Ainsi bloquée, elle était entièrement à ma merci. J’ai continué à la caresser la faisant feuler de plaisir.

Elle me réclamait de la détacher et de la prendre. Mais j’ai alors attaché ses jambes aux accoudoirs du fauteuil. Ses cuisses bien écartées laissaient apparaître son sexe entouré de sa toison rousse. J’intensifiais alors mes caresses sur ses lèvres intimes puis je la laissais un instant pour admirer ce splendide spectacle d’une femme soumise et offerte.

Je sortis alors un gode vibrant que je mis en marche. Je le passais d’abord sur sa poitrine en insistant sur ses tétons qui aussitôt se tendirent ainsi que ses auréoles.

Entre ses feulements de plaisir, elle me demandait ce que je lui faisais sans obtenir de réponse de ma part. Alors, je descendis le gode vers son sexe déjà ruisselant. C’est alors qu’elle comprit ce que j’utilisais. Je connaissais sa répulsion face au gode. Et c’est pour cela que je le faisais. Malgré ses récriminations, je continuais d’exciter son petit bouton. Ses paroles étaient coupées par des râles de plaisir. Alors, je suis descendu encore un peu pour la pénétrer tout doucement. Ses lèvres s’ouvraient naturellement. Je lui dis ce qui se passait et je lui demandais d’écouter son corps et surtout son sexe plutôt que son cerveau. C’est alors qu’elle cessa de protester pour ressentir cette pénétration d’un nouveau type. Je calais ce sexe artificiel profondément entré en elle et je me reculais. M’asseyant sur un tabouret, tout en me caressant, je me mis à admirer ma femme qui prenait un plaisir qu’elle se refusait jusqu’à maintenant.

Elle fut atteinte alors par une fulgurante jouissance qui traversa la totalité de son corps. Ma jouissance était de la voir jouir d’une façon nouvelle. Je revins vers elle pour lui retirer le gode. Mais contre toute attente, elle m’implora de lui laisser encore pour jouir une fois de plus avec. Je lui retirais quand même doucement, mais ses suppliques de lui laisser se faisait encore plus pressantes.

Alors, je lui demandais si elle était prête à continuer ces jeux d’amour et d’aller encore plus loin vers les tourments du plaisir. Je lui parlais de lui bâillonner la bouche, de l’attacher entièrement, d’utiliser un martinet, de la sodomiser et peut être de lui poser des pinces sur les seins. Sans attendre, elle accepta de recommencer et promis d’être soumise en tout. Je lui enfonçais brutalement le gode et pendant qu’elle faisait monter son plaisir je lui caressais les seins en pinçant parfois ses tétons. Elle criait qu’elle en voulait encore sans que je sache si c’était pour le gode ou pour ses tétons. Elle cria dans sa jouissance. Je l’ai alors détaché du fauteuil en lui laissant le bandeau sur les yeux. Je l’ai posé à quatre pattes sur la moquette et je l’ai pris en levrette. Jamais je n’avais vu ma femme dans une telle excitation. Avant que je jouisse, elle réussit à jouir à nouveau 3 ou 4 fois.

Nous nous sommes écroulés sur la moquette et nous nous sommes embrassés très fort. Après avoir repris nos esprits, je lui demandais si elle avait apprécié cette séance de soumission. Elle avoua que oui et que c’était différent de la domination. Je lui rappelais également ses promesses vis à vis de ces jeux. Et elle réitéra son acceptation en précisant l’utilisation du martinet et des pinces sur les seins. Elle me précisa aussitôt avec un regard très malicieux que ce jeu était en alternance et qu’elle saurait tenir son rôle de dominatrice. Elle osa même me demander si je tiendrais mon rôle de soumis.

Maintenant elle lit parfois mes revues et m’accompagne parfois sur internet pour visiter les sites consacrés à la domination et à la soumission. Je la soupçonne même d’y faire des commandes pour nos prochaines soirées de jeux amoureux.

Depuis j’attends d’être de nouveau soumis à ma toute nouvelle femme – dominatrice ou de la dominer dans le plaisir et l’amour que nous avons l’un pour l’autre.

Gilles, 36 ans

RECIPROCITE 2

Après avoir fait goûter à ma femme les joies de la domination et de la soumission, nous en avons parlé longuement. Chacun à exposé son point de vue, ses envies et ses limites. Certaines de ces limites étaient impératives, comme le fait qu’elle ne voulait pas être pénétrée par un autre homme et d’autres limites plus floues comme la notion de douleur dans l’utilisation de pinces, de poids, de martinet ou de cravache. Quant à moi, je lui annonçais, bien qu’elle le sache déjà, que je n’avais pratiquement pas de limites et que qu’en tant que soumis j’accepterai toutes les épreuves qu’elle me soumettrait. Je lui appris ce qu’était un mot de sécurité pour arrêter le jeu ou refuser une pratique. Et nous sommes tombés d’accord pour utiliser le mot " VERCORS ". Je lui rappelai que tout cela n’était qu’un jeu où les participant connaissait la règle : la domination d’un soumis dans le respect et l’amour.

Très rapidement, j’ai reçu un courrier sur mon lieu de travail de la part de " TA MAITRESSE ". Ce courrier me donnait différentes consignes que je devais appliquer lors de mes prochains congés. Congés que je prenais alors qu’elle travaillait. Je devais pendant cette semaine choisir un jour à ma guise et après le repas de midi me bander les yeux, me bâillonner et m’attacher les quatre membres aux quatre pieds du lit par des cordelettes sans possibilité pour moi de me détacher. Cette lettre se terminait par une phrase qui m’interpella beaucoup : " Ta femme que tu vois chaque jour ne devra rien en savoir. Seule TA MAITRESSE te découvrira ". Je devais cacher le choix de mon jour et ainsi m’offrir entièrement à elle.

Je choisis de m’exécuter le jeudi. Son attente avait été assez longue. Et la mienne aussi. Conformément aux ordres reçus, dés le repas du midi terminé je me préparai. Je mis d’abord en place les cordelettes reliées aux pieds du lit, puis je posais le bandeau pour les yeux et le bâillon sur l’oreiller. Le bandeau était fait avec un grand foulard noir, très large et le bâillon par un autre foulard auquel j’avais fait un nœud au milieu afin de bien remplir la bouche. Enfin avant de m’installer, je pris une douche. Toute la préparation m’avait mis dans un état d’excitation avancé. Mais lorsque je me suis installé sur le lit l’excitation était à son comble.

Je fis passer les nœuds coulant à mes chevilles pour commencer. Puis j’ai vérifié que les cordelettes pour mes poignets étaient bien en place. Alors j’ai mis le bâillon dans ma bouche et j’ai enfilé le bandeau. Enfin, en tâtonnant dans l’obscurité j’ai enfilé l’un après l’autre les nœuds coulant de mes poignets. Pour terminer, j’ai tiré sur mes bras. Les nœuds se sont alors serrés et j’ai rapidement constaté que désormais j’étais entravé sur mon lit. Seule MA MAITRESSE pouvait décider de ma libération.

L’attente fut à la fois longue et formidable. Dans l’obscurité la notion de temps se perd. Mais dans l’obscurité les pensées sont encore plus vivaces. Les fantasmes se multiplient, croissent et créent une formidable excitation. Durant toute cette attente, de nombreuses idées sur mon sort pour les moments qui allaient suivre traversèrent mon subconscient. Mais également j’imaginais ce que pourrait être notre nouvelle relation de couple à plus long terme. Les nœuds coulant serraient doucement ma chair aux poignets et aux chevilles mais cette douleur accentuait encore plus mes fantasmes. Une érection pratiquement permanente s’imposé à moi durant cet après midi.

Enfin j’entendis la clef dans la serrure et la porte d’entrée s’ouvrir. Aucune parole ne fut prononcée. Je l’ai entendu mettre de la musique puis prendre sa douche. Et puis encore l’attente. Tout à coup le bruit de ces talons aiguilles sur le parquet se rapprocha de moi. Et la, d’une voix autoritaire elle s’écria :

  • Comment oses-tu te présenter à TA MAITRESSE dans cette position ? En étant sur le dos avec ton sexe en érection, tu espères peut-être que je vais te sauter dessus et te donner du plaisir.

Il est vrai que j’avais espéré qu’elle me récompense de mon attente et qu’elle profite de moi immédiatement. Mais, c’est avec surprise que je découvris que ma femme commençait à prendre sa fonction de maîtresse avec sérieux. Elle vint vers moi pour m’enlever tout d’abord mon bâillon, ce qui fut un soulagement pour mes mâchoires. Puis elle me retira mon bandeau. Je pus enfin la voir. Elle était avec ses escarpins, ses bas et un body noir à manches. Ses grands cheveux roux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle était superbe.

  • J’ai fait des achats pour toi. Et pour commencer ceci.

Elle me montra un gros collier en cuir comme pour ces molosses type Pitbull ou Rotweiller. Le collier comportait des pointes tout autour et un gros anneau pour attacher une laisse.

  • Les soumises portes des colliers fins. Les soumis portent de gros collier. Me dit-elle en rapport au collier que je lui avais passé la fois précédente. Ainsi je te tiendrai mieux à ma botte.

Sans attendre elle me passa le collier autour du coup en le serrant suffisamment fort pour que je sente bien mais sans m’étouffer.

  • Maintenant tu vas apprendre comment tu dois te présenter à TA MAITRESSE.

Elle me délia les chevilles puis les poignets. Mais aussitôt, elle m’ordonna de me retourner et de me mettre sur le ventre. Aussitôt elle me lia de nouveau les poignets et les chevilles. Mon érection qui avait pris encore de l’ampleur était presque douloureuse surtout dans cette position.

De nouveau entravé, elle me remit le bandeau sur les yeux. Je l’entendis s’éloigner vers le salon. Elle revint presque aussitôt. Elle commença par me caresser avec la main le dos, les fesses et l’intérieur des cuisses. Puis je fus caressé de nouveau mais différemment. C’était une sensation nouvelle, créant un frisson de plaisir dans tout mon corps. Dans l’impossibilité de voir, je ne réussissais pas à savoir avec quoi elle me procurait cette sensation. Mais au bout de quelques minutes tout est devenu clair et évident. J’ai senti tout à coup une légère morsure sur mes fesses, la morsure d’un martinet.

  • Tu vois, me dit-elle, j’ai bien retenu notre dernière discussion. J’ai complété mes achats par ce martinet pour pouvoir mieux te dresser et bien t’apprendre ton rôle de soumis. Je vais t’apprendre le respect de TA MAITRESSE.

Et pendant qu’elle me parlait, le martinet s’est abattu sur mes fesses plusieurs fois. Puis elle continua la flagellation en remontant sur mon dos ou en descendant sur mes cuisses. Mais elle revenait sans cesse sur mes fesses bien rondes et musclées. Au fur et à mesure, je sentais que ces coups se faisaient de plus en plus précis et surtout ils étaient de plus en plus forts. Elle m’éduquait à me sentir sous sa domination. Mais elle apprenait en même temps à être une dominatrice. Elle apprenait à être MA MAITRESSE.

Régulièrement elle passait de l’autre coté du lit de façon à bien m’atteindre partout. Parfois les lanières du martinet atteignaient mon entre cuisse et la base de mes bourses et de mon sexe. La douleur se faisait alors plus intense, plus profonde mais aussi plus excitante. Sa cadence était totalement aléatoire. En étant avec un bandeau sur les yeux, j’étais dans l’incapacité de présager du moment, de l’endroit et de l’intensité du coup suivant.

Ma douleur allait en augmentant. Mes fesses et même mes cuisses commençaient à me cuire. Au bout d’un moment j’ai même émit quelques gémissements.

  • Si tu continues à te plaindre, je te remets le bâillon.

Mais la pluie de coups que je reçus, précis et d’une grande intensité, ne m’a pas permis de rester silencieux. Entendant mes gémissements, elle me fit relever la tête et me plaça le bâillon entre les lèvres.

  • Si tu ne sais pas te taire, je vais te contraindre au silence Soumis, me dit-elle.

Mes plaintes étaient maintenant inaudibles. J’étais surpris de sa détermination, de sa façon d’agir ou plutôt de réagir en maîtresse. Elle qui ne semblait pas intéresser par ces jeux, se révélait être une maîtresse prenant l’initiative et très ferme quoi que débutante. Mais ses coups de plus en plus fort me faisait de plus en plus souffrir. Souffrance qui bien sûr accentuait mon excitation. Tout à coup elle s’arrêta et vint auprès de moi. Elle me retira le bâillon et dit à mon oreille.

  • J’ai presque terminé de m’occuper de ton petit cul. Pour terminer cette première phase je vais lancer 2 dés et je ferais la multiplication des 2 chiffres obtenus. Ainsi le sort décidera le nombre de coups que tu mérites encore. Mais cette fois tu compteras les coups en disant en plus Merci MAITRESSE.

Elle lança les dés sur le lit et me dit :

  • 5 et 3. Tu recevras 15 coups. Maintenant tu vas constater comment je sais manier cet instrument. Tu auras d’abord 5 coups moyens sur le dos, puis 5 coups forts sur les cuisses et enfin 5 coups très forts sur les fesses.

  • Mais…, commençais-je à dire.

  • Comment oses-tu protester, me coupa-t-elle, Tu n’es vraiment pas en position pour émettre un avis.

Et aussitôt elle commença cette dernière série de coups de martinet. Le premier coup tomba sur mon dos. Il me sembla déjà bien fort. Que seront les coups sur les cuisses et ceux sur mes fesses pensais-je au fond de moi ! Mais aussitôt je me rappelais que je devais compter.

  • Un. Merci MAITRESSE.

Puis les coups suivants tombèrent sur mon dos. Et je continuais à compter chaque brûlure des lanières.

  • Je vais maintenant passer à tes cuisses. Et surtout compte bien. M’annonça-t-elle.

Le premier coup sur mes cuisses me cingla. Aussitôt j’ai gémis doucement tant la douleur m’avait surpris. Je craignais de plus en plus la série sur les fesses. Mais déjà j’annonçais :

  • Six. Merci MAITRESSE.

Le septième et le huitième coup s’abattirent ponctués par mon décompte et mon remerciement à MA MAITRESSE. Mais au neuvième coup je n’ai pas pu retenir une plainte plus forte.

  • Je ne veux rien entendre d’autre que ce que je t’ai ordonné de dire. Et pour bien me faire comprendre, je vais recommencer la série des cuisses. Une seule autre parole et je double la récompense de ces 15 coups. As-tu bien compris Soumis.

  • Oui MAITRESSE.

Alors un nouveau coup tomba sur mes cuisses. Et de nouveau je comptais :

  • Six. Merci MAITRESSE.

  • Je vois que tu as parfaitement compris. Et surtout tu as compris qui commande. Me dit-elle d’un ton péremptoire.

Mais déjà les coups suivant, tous aussi v i o l ent, me lacéraient les cuisses égrainés par mon décompte. A chaque fois j’avalais une plainte en serrant les dents très fort pour ne pas prolonger la souffrance. La série des cuisses se termina enfin.

  • Je vais maintenant m’occuper de tes fesses. Attention, je ne veux entendre que le décompte et tes jolis Merci MAITRESSE. Me dit-elle d’un ton enjoué.

Je m’attendais à tout moment à recevoir ce dernier châtiment. Mais rien ne venait. Mais tout à coup le premier coup tomba sur mes globes fessiers. Elle avait attendu que je me relâche de façon que le coup, encore plus fort que les précédents, ait encore plus d’effet. Surpris je ne pus retenir un léger cri. Mais aussitôt j’annonçais :

  • Onze. Merci MAITRESSE.

Malgré mes craintes, elle ne tint pas compte de mon léger cri. Et déjà le coup suivant s’abattit.

  • Douze. Merci MAITRESSE.

  • Et maintenant, s’exclama-t-elle, pour clôturer cette séance une série spéciale.

Les coups si v i o l ents pour mes fesses s’abattirent entre mes fesses, flagellant la base de mon sexe et de mes bourses. La douleur était terrible. A chaque fois, je poussais un cri suivi du décompte et du traditionnel " Merci MAITRESSE ". Elle ne prit pas en compte mes cris et termina ces trois derniers coups sans poursuivre plus longtemps.

Sitôt terminé, elle me délia les chevilles puis les poignets, m’enleva mon bandeau. Me retournant sans ménagement, elle m’embrassa presque sauvagement. Elle retira son body mais garda ses bas et ses escarpins et s’allongea sur le lit. En prenant mon sexe vigoureusement dans sa main elle m’ordonna :

  • Baise-moi. Fait moi crier. Tu m’as trop excité mon petit soumis.

Je la pénétrais aussitôt, d’un seul coup tellement sa chatte dégoulinait. Cette séance l’avait mise dans un état d’excitation si avancé que dès les 3 ou 4 premiers coups de piston, elle jouit en hurlant. Aussitôt je calmais la cadence pour la laisser reprendre son souffle. Mais pour me f o r c e r à la prendre selon la cadence qu’elle désirait, elle me saisit les fesses à pleine main, enfonçant ses ongles dans ma chair. J’ai alors crié et je lui ai dit que mes fesses étaient sensibles. Sa réponse fut sans équivoque :

  • Tais toi Soumis et défonce TA MAITRESSE comme elle en a envie.

Je compris que le jeu continuait et que maintenant je n’étais plus qu’un gode vivant qui devait apporter le maximum de jouissance à SA MAITRESSE. J’ai alors découvert le double effet du plaisir et de la souffrance mélangés. Au rythme qu’elle m’imposait avec ses mains dans mes chairs déjà meurtries, j’allais et venais à une cadence de plus en plus rapide. J’avais l’impression de m’enfoncer de plus en plus profond en elle. Alors qu’elle avait joui encore 1 ou 2 fois, ce fut moi qui, dans un cri, joui à mon tour en elle par longues et puissantes giclés.

Elle hurla de nouveau de jouissance au même moment. Elle continua encore un instant à me propulser en elle. Mais repue de fatigue, elle cessa et m’embrassa tendrement. Je me dégageais de son étreinte et m’affalait sur le lit à ses cotés.

Il nous fallut plusieurs minutes pour reprendre nos esprits. C’est elle qui parla la première.

  • Quelle soirée mon Amour ! Je n’ai jamais joui comme ça. Tu m’as tellement excitée avec tes fesses qui changeaient de couleur.

  • Comment ça ?

  • Regarde ton petit cul dans le miroir. Me dit-elle avec un petit sourire en coin.

Je m’exécutais difficilement à cause de la fatigue. Nu et dos au miroir, je constatais alors le résultat de cette séance. Mon dos était rose, mes fesses étaient rouge vif et mes cuisses rouge. C’est à ce moment, face à ce spectacle que je me rendis compte de l’ensemble de mes douleurs. Mon dos, mes cuisses et surtout mes fesses me brûlaient. Mon entre-jambe était sensible et laissait apparaître des traces roses. Enfin mes poignets et mes chevilles, marqués profondément par les cordelettes, se rappelaient à mon souvenir par des picotements jusqu’au bout des doigts et des orteils. Tout accaparé par les brûlures du martinet, je n’avais pas pris conscience que j’avais tiré sur mes membres pour tenter une fuite vaine. A chaque mouvement de mes bras ou de mes jambes, les nœuds coulant que j’avais moi-même confectionné au début de l’après midi s’étaient resserrés jusqu’à pénétrer dans ma chair laissant leur empreinte. Je me retournais vers ma femme et lui dis :

  • Et bien, pour quelqu’un qui n’était pas intéresser par ce type de jeux et qui ne voulait pas de douleur, tu semble avoir changer ton opinion.

  • Quand je t’ai envoyé la lettre, mon idée était de tenter d’utiliser le martinet mais sans savoir jusqu’où. Et durant cette semaine où j’ai attendu que tu te décides, mon excitation est montée progressivement. Mais lorsque je t’ai vu sur le lit entièrement à ma merci, je ne sais pas ce qui c’est passé. J’ai voulu apprendre à me servir de ce martinet. Et petit à petit, les traces sur tes fesses sont devenues de plus en plus vives. J’ai vu alors en flash toutes ces images que nous avions regardées ensemble sur Internet. Ces images de soumis livrés aux caprices de leur dominatrice. Ces images de fesses rougies par les claques ou le martinet. Plus je te frappai … , ça fait drôle de dire ça, et plus j’avais envie de te frapper et plus j’étais excitée. Je sentais mon sexe s’inonder et dégouliner sur mes cuisses.

  • Tu écoutais ton corps. Tu ressentais tes instincts. De plus tant que je n’avais pas prononcé le mot de sauvegarde tu pouvais continuer. Le principal dans ce jeu, c’est de prendre du plaisir. Et apparemment tu en as pris.

  • Oui, mais toi tu en as pris du plaisir. ? Me demanda-t-elle.

  • Oh oui, j’en ai pris. D’abord en t’attendant. Où as-tu eu cette idée de me faire attendre comme ça, attaché et bâillonné ?

  • Dans une de tes revues…

  • Ensuite lorsque tu as réagis au fait que j’étais allongé sur le dos. Tu m’as beaucoup étonné. Je ne m’attendais pas à ça. Encore une idée piquée dans une revue…

  • Et oui. J’ai bien retenu la leçon. Le soumis a f o r c é m e n t tort et la maîtresse doit lui imposer sa volonté.

  • Je vois que tu apprends vite. J’ai continué à prendre du plaisir avec les coups de martinet. C’était très excitant. Surtout dans l’obscurité. Et puis ton idée d’utiliser les dés pour déterminer le nombre de coups, ça m’a impressionné. Une idée pris dans une revue aussi ?

  • Non, celle-là je l’ai eu toute seule. Et ça depuis quelque temps déjà. Mon idée de départ, comme je ne voulais pas te faire mal, c’était de m’en remettre aux dés pour le nombre de coup que je te frapperai. Je ne pensais pas que je trouverais du plaisir à te voir attaché et à te voir geindre sous les coups. Mais comme je te l’ai déjà dit, de te voir attaché sur le lit ça ma métamorphosée. Par contre, le fait de répartir les coups sur le dos, les cuisses et les fesses ainsi que de frapper de plus en plus fort, ça m’est venu comme ça, dans l’excitation.

  • Même les trois derniers coups ?

  • Oui. Plus j’ai appris à utiliser le martinet et plus j’ai eu envie de voir jusqu’où tu pouvais aller. Et malgré mes coups répétés et de plus en plus fort tu ne craquais pas alors j’ai voulu aller encore un peu plus loin. Mais tu n’as pas craqué mon Amour.

  • Désolé de t’avoir déçu. Mais là où tu as continué à me surprendre, c’est quand nous avons fait l’amour. Ou préfères-tu que je dise que je t’ai baisée selon tes ordres.

  • Je t’ai dit ça moi ? J’étais vraiment une autre alors.

  • Oui tu m’as dit ça. Et lorsque que j’ai ralentis la cadence, tu m’as ordonné de te défoncer comme tu en avais envie. Tes ongles plantés dans mes fesses, je ne t’explique pas la douleur dans l’état où elles étaient.

  • Non, j’ai pas fais ça.

  • Si, et tu veux que je te dise, j’ai vraiment aimé que tu me parles comme ça, que tu m’impose tout ça et que tu m’appelles juste Soumis. Ca m’excitait beaucoup.

  • Tu aimes vraiment ça alors. Le pire, c’est que je crois que j’aime vraiment ça aussi. Et dire que j’ai attendu si longtemps. Et toi aussi tu as attendu. Pardonnes-moi, je ne savais pas que c’était comme ça.

Elle me sera alors dans ses bras et m’embrassa tendrement. Alors je lui répondis :

  • Tu es pardonnée. Mais rappelle-toi que les rôles s’inversent aussi. Toi aussi tu te retrouveras sous ma domination. Et alors, jusqu’où es-tu prête à aller ?

  • Ce sera à toi de me montrer mes limites. J’espère être aussi résistante que toi.

  • Mes limites ne doivent pas être tes limites. Ce n’est pas un concours entre nous deux. C’est juste une recherche du plaisir, une recherche de la limite de son propre plaisir.

Après la douche et un rapide repas, nous avons rejoins le lit pour dormir profondément.

Fin

smlt

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